Trogir est une petite ville pittoresque dans laquelle chaque pierre représente un monument. Elle est toute entourée des parcs. Le vieux noyau civique est baigné de la mer de toutes les parts.
La colonisation du lieu est mentionnée pour la première fois dans le Ille siècle avant Christ, pendant que les premières traces de vie datent d'une époque beaucoup plus reculée. Tragurion grec a été fondé des nautiques qui sont venus avec les bateaux del'île de Vis. Dans l'époque de l'Empire romain Tragurium était particulièrement connu à cause de son marbre de haute qualité. Du passé le plus vieux de Trogir elles ont été conservées quelques oeuvres d'art, par exemple le relief avec la figure de Kairos (les siècles IVe-IIIe avant Christ), et le Relief avec la figure d'une femme qui travaille à la maille (les siècles Ie-lle avant Christ).
Lorsque Dalmatie était devenue une région, c'est-à-dire le thème de la Byzance, Trogir est tombée sous la domination de l'empereur byzantin et son Exarque à Ravenne. Pendant le temps autour de la ville vient à habiter une nouvelle population - les Croates lesquels ont tourné une autre page dans l'histoire de cette région. Le roi de la Hongrie et de la Croatie leur avait garanti l'autonomie en 1107. Trogir l'avait jouie jusqu'à la venue de Venise.
Dans ceux siècles se développait l'autonomie communale, basée sur les Privilèges de Koloman et le Statut lequel la ville avait déjà en 1322. Entre les nombreuses petites églises on doit mentionner l'Eglise de sainte Barbara construite dans le Xle siècle dans le style jeune roman.
L'époque du XlIIe au XVe siècle représente le sommet de pouvoir social, économique, culturel et artistique de Trogir. Ce sont les temps des grandes constructions, de la fortification des murs défensifs et des forteresses qui ont complètement entouré la ville.
Ce sont les temps des princes de Bribir des Subici, d'humaniste et écrivain Koriolan Cipiko, les temps de l'évêque croate et le ban Petar Berislavic, le combattant contre les Turcs.
Maîtres et artistes locaux Radovan, Blaz Jurjev Trogiranin, Ivan Duknovic et pour rien moins importants Andrija Alesi et Nikola Firentinac ont laissé à Trogir en un héritage éternel leurs oeuvres d'art et d'architecture.
La cathédrale de saint Lovre avec le célèbre Portale de Radovan, est un espace ecclésiastique sur lequel on voit tous les styles de l'art romane au baroque et sur laquelle il ont laissée les traces tous les artistes célèbres. Les récoltes artistiques de Trogir gardent le patrimoine artistique et culturel le plus précieux de la ville.
Elle est située sur la place principale laquelle existe du début d'existence de la ville - près du palais municipal, du tribunal et de l'horloge municipale et d'un des plus beaux palais - le palais de Cipiko.
L'influence de Venise (du 1420 à 1797) s'est sentie dans la culture et dans l'architecture. Malgré cela pendant les quatre cents ans de sa domination la langue croate s'est conservée, même si, ensemble au latin, la langue officielle était l'italien. Venise savait bien se rendre compte de l'importance de port et de commerce nautique, trafique et marine.
Le gouvernement français (les ans 1806 -1814) a porté une série de changements dans la vie de la ville, particulièrement dans le champ d'éducation, d'économie, d'agriculture, de santé publique etc.
Le gouvernement autrichien à Trogir a duré de 1814 à 1918. Les vieilles familles nobles déclinent, pendant que la classe bourgeoise obtient la guide politique et culturel. Ce sont les temps des remous de rénovation nationale, des batailles des autonomistes et des membres du Parti national croate pour le pouvoir.
Au debout du XXe siècle on construit les nouveaux édifices publics, on ordonne la rive. La ville passait des mains des autrichiennes dans les mains du Royaume SHS, de Royaume de Yougoslavie, FNRJ et SFRJ. La ville a survécu aux plusieurs guerres inclue la dernière, la Guerre pour la Patrie, pour attendre la fin du XXe siècle dans la Croatie indépendante.
La richesse et la variété de son patrimoine artistique - culturel et de son passé curieux sont la cause pour laquelle la ville s'est trouvée du 1997 sous la protection de Unesco.
Tout cela fait de la ville de Trogir une destination inévitable.